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jeudi 23 août 2012

Ce que les recruteurs regardent en premier !


Après avoir consulté plus de 2.100 managers européens qui ont en charge notamment le recrutement au sein de leur société, le cabinet Robert Half a établi un classement de ce que ces derniers regardent en priorité dans les CV qu’ils reçoivent. Et ce tour d’Europe montre que les entreprises françaises ont une approche différente des autres qui met à bas une idée reçue. Les Français sont en effet persuadés que le diplôme reste le sésame absolu pour être embauché, y compris quand on a acquis une longue expérience.
Or selon cette enquête, le premier élément que scrute un recruteur, c’est l’expérience professionnelle (42% des répondants). Viennent ensuite, les qualifications professionnelles (21%) et les compétences techniques (14%). Il faut en revanche savoir ne rien négliger, car 6% des recruteurs assurent regarder d’abord les renseignements personnels (âge, situation familiale, adresse, loisirs…) et 3% la photo du candidat.
Un niveau particulièrement bas si on le compare aux pratiques des autres recruteurs en Europe. Car si 1% seulement des recruteurs italiens admet regarder d’abord à quoi ressemble celui ou celle qui postule dans leur entreprise, ils sont carrément 10% en Suisse et 8% en Allemagne et en Autriche à reconnaître faire de même. Mais peut-être ces derniers sont-ils plus honnêtes dans leurs réponses. 
L'analyse des informations émanant des réseaux sociaux est une pratique rare
Pour Olivier Gélis, Directeur Général de Robert Half International France, le petit nombre des recruteurs qui affirment prendre d’abord en compte des éléments pouvant donner lieu à discrimination (adresse, âge, photo…) est rassurante : "C’est une très bonne nouvelle ! Néanmoins un rappel des principes du recrutement non-discriminatoire doit être fait régulièrement pour parvenir à un réflexe et dépasser la ‘contrainte’" souligne-t-il.
Autre surprise de cette étude, la recherche d’informations via les réseaux sociaux reste une pratique secondaire pour les recruteurs. Les plus curieux en la matière sont les Autrichiens. 3% d’entre eux scrutent le profil du candidat sur les réseaux sociaux.